Auteur : Barry Greenstein

Editeur : Last Knight Publishing

Date de Sortie : Juin 2005

Nombre de pages : 328

Thème : Stratégie Holdem NL

Edito :

Il y a beaucoup de livres de poker. Certains traitent les principes généraux, d'autres les mains de départ, la statégie ou la position à la table. Ace on the River essaye de s'attarder à d'autres parties du jeu. En fait, ce livre est une immersion dans la vie réelle d'un joueur professionnel vu par Barry Greenstein.

Ce livre insiste sur le fait qu'il faille aider les joueurs professionnels autant que ceux qui inspirent à le devenir. Alors que vous vouliez devenir pro ou pas, cet ouvrage est à mettre dans de nombreuses mains...

La critique de Gozi :

Auteur : Daniel Negreanu, Collectif

Editeur : Poker Expert

Date de Sortie : 22 Février 2010

Nombre de pages : 496

Thème : Stratégie Holdem NL

Edito :

Quadruple champion WSOP et double-détenteur de titres WPT, le champion canadien a réuni quelques-uns des meilleurs professionnels pour proposer un ouvrage ressemblant par sa forme à Super System mais traitant des concepts variés du poker peu abordés et rarement approfondis jusqu’alors (2008).

On retrouve ainsi des articles pointus avec des parties par exemple entièrement consacrées au jeu en short-handed en ligne.

La critique de Gozi :

J'attendais beaucoup de ce livre à sa sortie, mais j'ai été déçu de détecter si peu de pépites et sa lecture n'a pas apporté de changements fondamentaux à ma façon de jouer.

Cependant, il reprend beaucoup de concepts de base sur le jeu en tournoi et je le conseille à tous les joueurs débutants.

Auteur : Isabelle Mercier

Editeur : Flammarion

Date de Sortie : 8 Février 2008

Nombre de pages : 294

Thème : Bibliographie

Edito :

À Las Vegas, Londres, Monte-Carlo, Macao ou Paris, dans tous les tournois de poker du monde, on l'appelle Isabelle " No Mercy ".
Comprendre Isabelle " Sans Pitié ". A 32 ans, Isabelle Mercier est joueuse de poker professionnelle. Elle peut gagner 25 000 euros en une semaine. Elle peut perdre aussi. Depuis ses premiers jours comme croupière à l'Aviation Club de France, le prestigieux cercle de jeu des Champs-Élysées, elle a toujours été au bon endroit, au bon moment. Et elle a tout vécu : les premiers shows télé, l'arrivée du poker sur Internet, la déferlante des amateurs, l'apparition de nouvelles façons de jouer, et l'émergence des stars dont elle fait partie.
Son livre est l'histoire de sa vie. À travers la chronique des dix dernières années du poker, il retrace les aventures d'une femme dans un monde peuplé à 99 % d'hommes, celles d'une tueuse dans un monde sans pitié.

La critique de Gozi :

Auteur : Phil Hellmuth, Joe Navarro, Marvin Karlins

Editeur : Micro Application

Date de Sortie : 19 Novembre 2007

Nombre de pages : 416

Thème : Psychologie du Poker

Edito :

Tous les grands joueurs de poker vous le diront : pour gagner au poker vous avez besoin d'un brin de chance, d'un soupçon de mathématiques et de quelques artifices.
Alors que l'aspect mathématique du poker était traité en long et en large au cours des 20 dernières années, les techniques permettant de lire les adversaires et l'art de dissimuler ses propres tells étaient passés sous silence. Enfin ... Jusqu'à aujourd'hui. Joe Navarro, un ancien as du contre-espionnage, spécialiste de la communication non verbale et de l'analyse des comportements - en clair un homme capable de repérer les menteurs et autres affabulateurs de tout poil - vous révèle des techniques infaillibles, illustrées par des exemples fournis par Phil Hellmuth, le célèbre joueur de poker, qui vous permettront de déchiffrer et d'interpréter - le langage corporel de vos adversaires ainsi que leurs actes manqués tout en vous enseignant comment dissimuler vos propres tells.
Joe va faire de vous un détecteur de mensonge humain, prêt à payer tous les bluffs - et le joueur le plus craint de la pièce.

La critique de Gozi :

Incontournable pour ceux qui commencent à s'intéresser à la synergologie et à la psychologie.

Après avoir lu cet ouvrage, certains calls all-in ont été facilités grâce au fameux "Wrong means weak".